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1 mars 2016 2 01 /03 /mars /2016 10:13
Dürer und ich - Dürer et moi.

Sergio Schmidt-Iglesias

"Planche II" Série graphique collage et dessin.

Papier 32,5 x 50 cm.

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28 février 2016 7 28 /02 /février /2016 11:12
Détail d'un dessin.

Sergio Schmidt-Iglesias.

Détail d'un dessin sur bois préparé.

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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 11:25

« A propos des dessins de Sergio »

C’est à la croisée de deux chemins que je voudrais aller pour parler des dessins de Sergio. Écrire en ne renonçant ni à ma sensibilité, ni à la distance objectivante si précieuse, quoiqu’instrumentale, quand on parle d’images. Une écriture dont la subjectivité serait consciente et manifeste, tout autant que lointaine et secondaire, n’étant en rien le propos du texte...

Tout cela serait plus facile si le peintre était lui-même à distance de celle qui écrit ici. S’il n’était ni un ami, ni même une connaissance mais seulement un artiste parmi d’autres. Assurément cette condition d’écriture est au plus loin d’être remplie car justement, nos chemins, à Sergio et à moi, ne se sont jamais perdus. Sergio toujours là, présent parmi ceux qui comptent, ceux dont on ne peut imaginer qu’ils sortent du cercle.

Sergio dont j’admire la passion, la constance et la volonté de continuer toujours à chercher plus de loyauté dans ses images, plus d’enfance, plus de plaisir. Sergio animé par la conviction que sa vie est son art, que là se trouve son sens et ses désirs. Sergio qui, à ce sujet-là au moins : FAIRE, faire des dessins, des peintures, des photos, des gravures, des objets, semble n’avoir jamais douté. Sergio ne pouvant rien faire d’autre. Engagée pour ma part dans une réflexion sur l’écriture, m’incombe aujourd’hui la tâche de parler de ces dessins quand je sais combien peinture et écriture peuvent être irréductibles. Que puis-je faire d’autre alors que proposer quelques phrases qui pourraient être une aide au regard, sans nier que mon propre regard est aidé voire même déterminé par celui que d’autres ont posé sur d’autres images.

Sur papier, sur carton, sur bois, le stylo bille raye si bien la surface, l’entame, la meurtrit – joyeusement parfois – que le dessin se fait gravure. Les traits et les figures couvrent régulièrement la surface sans la cacher, finissant par constituer une sorte de fond graphique qui grésille avec, ça et là, un blanc dans ce bourdonnement : des taches noires dans l’image. Les dessins sont pleins. Les compartiments, serrés et de tailles irrégulières, sont en continuité sans être pour autant clairement délimités. Si l’on s’attarde ou si l’on ralentit, on y voit des hachures, des motifs en spirale, en triangle, en rond, en carré, des yeux, des plantes, des poissons, des oiseaux, des personnages, des chiffres, des lettres, des chemins... Lignes d’intensité plutôt régulière. Parfois aussi, à l’arrière- plan, un semblant de couleur, discrète comme un souvenir ou une promesse de peinture : papier coloré et collé qui constitue un fond délicat et retenu, pourtant plein de mémoire ou d’espoir. D’autre fois, c’est le bic qui suscite la couleur, porteuse de nouveaux rythmes. On pourrait penser à Dubuffet : comme lui, du stylo bille noir, bleu, rouge ou vert, une main qui se débrouille seule, un dessin qui envahit la feuille progressivement et jusqu’à la couvrir toute. On pourrait penser à Vieira da Silva, à Paul Klee ou à Alechinsky : comme lui des écritures, des glyphes, des textes. On pourrait penser au Torres Garcia rentré à Montevidéo et plongé dans les

« arts les plus anciens ». Comme chez lui, on ne sait si les motifs tantôt abstraits, tantôt reconnaissables, sont des signes conventionnels - symboles ancestraux - ou au contraire des allusions à des événements personnels1. Tous ces signes fourmillent, créant bien du désordre dans l’ordre de la page. Les lignes claires et identifiables côtoient des griffonnages. Le langage est à la fois moderne et très ancien, scriptural et icônique, abstrait et figuratif. Une force de ces images est de faire fusionner ces contraires sans pour autant les annuler.

Puis il y a les cadres peints qui, associés aux dessins, tendent à faire objet.

La continuité entre le Sergio, jeune graveur tout juste sorti des Beaux- Arts de Montevidéo, tout juste arrivé à Paris, et le dessinateur passionné d’aujourd’hui est une évidence formelle et existentielle. Un Sergio qui continue, avec la même cohérence, à ouvrir des portes, expérimenter, prendre plaisir, regarder, inventer de la forme, de la couleur, graviter autour de son propre regard. Un regard plein d’images et de cultures – latine, indienne, européenne, américaine – un regard plein du siècle juste écoulé, un regard qui fait une œuvre.

Le Sergio que l’on trouve tout entier dans ses innombrables carnets, séduisants et secrets.

1 Je me réfère ici à un extrait du catalogue Collection art moderne - La collection du Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, sous la direction de Brigitte Leal, Paris, Centre Pompidou, 2007 ; accessible sur https://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/cEpBaL/r88gqdo#undefined.

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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 16:01
Un texte de Mabel Franzone.

LOS MAPAS DE SERGIO SCHMIDT IGLESIAS

Como un precioso espejo del estado físico y mental del artista se erigen tres dibujos que invitan a mirarlos más de cerca, casi a buscar entrar en ellos. Recuerdan l’Art Brut o Outsider Art, cuyos autores daban rienda suelta a lo irracional, a la visión, a la mediumnicidad, al chamanismo.

En la primera lectura hubiera jurado ver un mapa espiritual, el camino tortuoso que el alma recorre, buscándose, profundizándose, yéndose por unos y otros recovecos para encontrar por fin el hilo de Ariane, su propia guía.

En la segunda lectura veo una ciudad sagrada vista desde el aire y no dejo de pensar en la sacralización del espacio de los rituales, y finalmente en esta Tierra sagrada que nos acoge. Se adivina el gesto, apasionado y casi automáta, dirigido desde adentro, desde las entrañas, componiendo líneas, cuadrados, laberintos, ciudades enteras. Cada órgano se ha salido de madre y vino a plasmar su huella en la madera. Cada átomo ha venido ayudando para que Sergio entregue su « citadelle sacrée ». Para que podamos entrever los caminos recorridos: únicos, difíciles, incomprensibles, a veces oscuros, otras ordenados y luminosos.

Los llamaría « La Serie de Ciudades del Alma » o « 3 Mapas Espirituales ».

Una parte de nosotros sabe bien que si entramos en esas ciudades, recorreremos los caminos y nos reconoceremos como humanos.

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14 février 2016 7 14 /02 /février /2016 11:59
C'est le papier qui est important...

Sergio Schmidt-Iglesias.

Gribouille sur papier du 18 ème.

15 x 15 cm. "14-02-2016"

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10 février 2016 3 10 /02 /février /2016 10:25
Dessin du 09-02-2016.

Sergio Schmidt-Iglesias.

Carton préparé 50 x 65 cm. Signé en bas à gauche.

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8 février 2016 1 08 /02 /février /2016 18:57
Dessin sur bois préparé.

Sergio Schmidt-Iglesias.

Bois préparé 50 x 65 cm.

Signé en bas.

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3 février 2016 3 03 /02 /février /2016 10:11
"Dürer et moi" (suite graphique)

Sergio Schmidt-Iglesias.

Début d'une série de dessins et collages.

Durer pour les collages et moi pour les dessins.

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29 janvier 2016 5 29 /01 /janvier /2016 18:58
Dessin 2016.

Sergio Schmidt-Iglesias.

Format 50 x 65 cm.

Signé en bas.

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24 janvier 2016 7 24 /01 /janvier /2016 10:38
Dessin 50 x 65 cm.

Sergio Schmidt-iglesias.

(Visible au mois de mars )

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